Alerte aux requins au sudouest de la France

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

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Rédigé par Henri Letsbat, pour toutlinfo.Fr , premier site journalier international.


L'histoire :

Si la mer est l'un des lieux de vacances favoris des Français, il n'en demeure pas moins l'un des endroits les plus dangereux. Cette année, en plus des risques habituels, les requins menacent notre séjour sur le littoral.

Pendant une demi-heure, hier matin, la baignade a été interdite pour cause d'alerte au requin sur la plage bien connue du Penon , a Seignosse.

Vers 10h30, les sauveteurs ont hissé le drapeau rouge de baignade interdite et dangereuse. Ils ont invité les baigneurs à quitter immédiatement la plage puis ils ont manœuvré pour faire fuir de des requins aperçuent de près de deux mètres de long.

Il a été vu à la fois par certains de nos sauveteurs et par des plaisanciers et il s'agissait vraiment d'un requin. Les gens sont sortis de l'eau sans causer de problème et sans paniquer. Il est vrai que nous n'avons pas donné de suite la raison de cette évacuation.


Un danger ?

«S'il s'agit d'un requin bleu, le danger est nul. Il se nourrit exclusivement de poissons, des poissons bleus et aussi des calamars. Il ne s'intéresse pas à l'homme. Le requin-pèlerin se nourrir lui de plancton. Cela n'a rien à voir avec le grand requin blanc que l'on peut rencontrer dans les eaux chaudes et tropicales comme à la Réunion», ajoute Patrick Masanet. Au large, les pêcheurs sportifs de thon confirment la recrudescence du «Bleu». «Jamais on n'a vu autant de requins bleus. Jamais. On en prend plusieurs par jour. On le relâche mais ils mangent nos appâts et cassent nos lignes. Encore ce matin, les dix-sept bateaux de la campagne ont capturé et relâché trois squales», ajoute Michel Franco du Thon Club du Cap d'Agde. L'été 2016 pourrait être celui du requin bleu.

Mais le requin tigre répondrait a la description que la plupart des baigneurs on faite de ces visiteurs.
Le requin tigre est certainement le requin le plus dangereux. Il attaque délibérément les chasseurs marins et parfois des baigneurs.
Il est responsable de la plupart des attaques contre l’homme dans l'océan atlantique
Ce prédateur se nourrit de tout : déchets, bois, rebuts plastiques ou métalliques, charognes …

Les mairies de Seignosse, Hossegor, Capbreton et Labenne ont donc décidés de laisser ouvert leurs plages aux touristes malgré le danger , car cela représente un enjeux trop important en pleine saison.

De plus :

Déjà près de 300 noyades accidentelles en un mois seulement
On ne le redira jamais assez : la noyade est, avec la route, l'une des plus grandes causes de mortalité de l'été. Elle est d'ailleurs, de manière constante, la première cause de décès par accident de la vie courante chez les jeunes de moins de 15 ans.

Entre le 1er juin et le 5 juillet, selon l'étude de l'Institut de veille sanitaire (l'InVS), menée en collaboration avec l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes), «275 noyades accidentelles, dont 109 sont à l'origine d'un décès».

Ce chiffre, en forte augmentation par rapport à l'enquête menée en 2012, s'explique notamment par les fortes chaleurs de ces dernières semaines, qui incitent à la baignade. Sur la même période, en 2012, 73 décès avaient été enregistrés.

Si la noyade concerne tous les âges, certaines classes sont plus touchées que les autres. Ainsi, chez les moins de 20 ans, le nombre de décès par noyade entre 2012 et 2015 est passé de 12 à 23. Même constat chez les plus de 65 ans, qui passent de 20 à 46 décès en trois ans.

Le défaut de surveillance chez les enfants, et le choc thermique entraînant un malaise chez les personnes âgées, sont le plus souvent observés.

Du premier juin au 5 juillet de cette année, les noyades accidentelles se sont produites dans tous les types de plans d'eau : 39 ont eu lieu en mer, 27 en piscine et 13 en cours d'eau. Le rapport mentionne également que parmi les 75 noyades en piscine (mortelles ou non), 51 (68 ) ont eu lieu dans des piscines privées familiales. Par ailleurs, 25 (33 ) de ces noyades concernaient des enfants de moins de 6 ans.

L'InVS et l'Inpes insistent également sur le fait que «le risque de malaise est d'autant plus grand si l'eau est froide ou après une longue exposition au soleil». Il est donc indispensable d'entrer progressivement dans l'eau. En plus des malaises, les imprudences ou le fait de ne pas être bon nageur sont les principales causes de noyades accidentelles explique dans le communiqué le Dr François Bourdillon, directeur général de l'InVS et de l'Inpes.

Afin de prévenir ces accidents, l'Inpes vient de publier la brochure «Se baigner sans danger». Ce document, téléchargeable sur son site, recommande fortement de privilégier les baignades dans les zones surveillées. Il conseille également une surveillance «permanente» des enfants par des adultes responsables, et invite ces derniers à se baigner en même temps que les plus jeunes. Les adultes aussi doivent se montrer attentifs : il leur est préconisé de prendre en compte «leur forme physique et d'éviter l'alcool et les repas copieux avant (et pendant) la baignade».

Au total, chaque année, ce sont près de 500 personnes qui décèdent par noyade en France.

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.