(Val d'Oise-95) Un français intercepté par la douane à l'aéroport de Roissy CDG

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

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Ce jeune français d'origine pakistanaise trouvait ses victimes sur Instagram.
Tout allait bien pour le présumé coupable de vingt-deux viols ( On recense aujourd'hui 13 cas où la victime était mineure ). Diplômé d'un bac scientifique après une scolarité plus ou moins passable, il s'est engagé dans des études de commerce exigeantes et sélectives.

On retrouve sur son profil Instagram de nombreuses photos de ce genre, et on comprend bien cet effet magnétique que le jeune homme a eu sur ses malheureuses victimes.

Le prévenu de confession musulmane selon ses proches est donc plongé dans cette communauté depuis son plus jeune âge. Et c'est là qu'il trouvait son vivier de proies. Il s'est ainsi abonné à de nombreuses pages ou des jeunes filles musulmanes pratiquantes rêvaient de trouver un mari aimant et respectueux, soit des filles " Halal" selon ses dires.
Le scénario tristement ingénieux se répétait ainsi :
Après de nombreuses conversations virtuelles pendant lesquelles il traitait de religion, de société et passait pour l'homme exemplaire dont toute mère aurait rêvé pour sa fille. Il leur proposait ensuite une rencontre devant une librairie musulmane en prétextant leur présenter un livre qu'il avait récemment écrit. Les jeunes filles innocentes et naïves se rendaient au rendez vous en " Tout bien tout honneur " nous déclare Sana, 19 ans.
Cependant elle tombait en fait nez à nez avec un colosse de 1m80 pour 95kg qui les embarquait dans un Renault Kangoo de couleur bleu.
Par pudeur les victimes n'ont pas souhaité rentrer dans les détails de leur agression, mais toutes les qualifient de viol.

Le suspect, aussi porteur du VIH a infecté toutes ses victimes, ils leur en informait seulement après avoir fait son affaire, laissant les jeunes filles ahuries après leur agression.
- " Après m'avoir violé, il m'a jeté de son camion au milieu de la A15 en criant " La piraterie n'est jamais finie WALABOK" et je suis restée là à pleurer " nous raconte Marion Durand, 21 ans.

Le jeune homme, suspecté de faire partie d'une filière jihadiste pour une autre affaire est actuellement mis en examen.

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