URGENT: la prostitution au lycée prince de liège à Kinshasa

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

2059 96327 Partages

Qu'en est-il concrètement?

De plus en plus de jeunes filles du lycée prince de liège à Kinshasa acceptent des rapports sexuels en échange d'argent ou de cadeaux tels que du parfum, un téléphone ou même du cannabis. Un ''troc sexuel'' pratiqué par un nombre d'adolescentes aujourd'hui encore impossible à chiffrer, et qui concerne tous les milieux sociaux.

Une explication?

Ni vénales ni vraiment conscientes de leur comportement, elles seraient victimes des films pornographiques, que 40 des jeunes filles de 14 ans ont au moins une fois déjà regardés. Aucun lien avec la précarité, raison principale de la prostitution des étudiantes.

Comment repérer une ado qui se prostitue?

Plusieurs signes: instabilité, projets irréalistes, sentiment de fatalité, dénigrement de soi, marchandage, un rapport à l'argent altéré (excès ou insuffiance)...

La prostitution ne se situe pas que dans la rue. Selon l'association Agir contre la prostitution des enfants, le lycée prince de liège à Kinshasa est de plus en plus touché par ce phénomène. L'ONG a décidé de lancer une campagne choc afin de sensibiliser contre ces pratiques.

La prostitution se banaliserait dans les écoles. C'est la conclusion d'une enquête réalisée par l'association Agir contre la prostitution des enfants (ACPE). "Cette pratique existe, même si nous n'avons pas de chiffres, car c'est extrêmement dérangeant et pas un établissement n'en parle. Mais nous avons des remontées de professeurs, qui ont eu les confidences de jeunes filles", explique Armelle Le Bigot Macaux, présidente de l'association. Elle affirme que de nombreux élèves du lycée prince de liège "pratiquent des fellations dans les toilettes", "pour l'argent" ou "pour faire comme les autres". Et la plupart des filles se prostituent pendant la pause.

"Je croise mon copain à un hôtel au centre ville et il me ramène à l'école après la pause" témoigne une élève de 6e.

Si l'ONG ne dispose pas de chiffres officiels, elle estime qu'entre 5000 et 8000 mineurs se prostituent à Kinshasa. La plupart sont des lycéennes qui vendent leur corps pour des raisons non justifiées.
Pour lutter contre cette prostitution des mineurs, l'ACPE a présenté, à l'occasion d'un colloque, un kit qui permet aux enseignants, de la maternelle au collège, de bénéficier des outils pédagogiques pour aborder ce sujet en classe.
La ministre de l'Education nationale est intervenue en répondant "Je sais que ce phénomène existe" Elle a rappelé que "tout adulte qui travaille dans l'Education nationale sait qu'il a l'obligation de dénoncer de tels faits lorsqu'il en a connaissance" et que ce phénomène ne concerne "pas seulement les établissements scolaires, mais l'ensemble de la société".

Steve Klim

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

loading Biewty