Ali Bongo reconnait avoir triché plus d'une fois
Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.
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Acculé par une opposition toujours grandissante aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur des frontières du Gabon, Ali Bongo, fils "présumé" du défunt président gabonais Omar Bongo pense sérieusement à quitter le pouvoir; il se serait confié à un de ses proches qui l'aurait encouragé à aller jusqu'au bout de sa logique. Le chef de l'Etat gabonais aurait avoué à son confident qu'il est fatigué de tricher et qu'il est conscient que les gabonais le méprisent. Il aurait du reste lâché à son interlocuteur qu'il savait qu'il avait peu de chance face à Jean Ping, lors des dernière élections et que ce serait son entourage, en tête desquels Patrick Opiangah qui l'aurait induit en erreur, l'obligeant à présenter des papiers falsifiés pour se présenter à une élection qui ne l'aura aucunement ménagé. Ali Bongo envisagerait prendre des cours de droit, et ouvrir un cabinet d'avocat d'affaire dans les faubourgs de New-York. Parlant de son rival politique et beau-frère, Ali Bongo dit qu'il avait toutes les chances de son côté: " Quelles chances avait-je de battre un homme de la trempe de Jean Ping qui avait en plus pris la précaution de s'entourer de personnes brillantes et charismatiques telles que: Jean Eyeghe Ndong, René Ndemezo Obiang, Casimir Oyemba et Zacharie Myboto, alors que je ne traînais pour l'essentiel que des partisans sans aucune expérience de la sociologie gabonaise?" Et l'homme d'ajouter: " Le départ d'Alexandre Barro et Michel Menga a été le coup de grâce, ils ont accentué la saigné qu'avait entamé la bande à Ping."
D'après cet homme de l'ombre, la mère "présumée" du président gabonais serait d'avis que son fils s'éloigne de cet univers tumultueux, car elle craindrait que face à la radicalisation de la rue, ce dernier ne fasse outrancièrement usage de la force.
Il faut dire que le dialogue national initié par Jean Ping n'est pas de nature à calmer les nerfs à vif du président gabonais qui se sent chaque jour isolé des gabonais.
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