Un jeune Mauricien sauve deux enfants de la noyade
Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.
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Ashley Payet, a sauvé un bébé et son frère de la noyade à Marseille, après un accident de la route.
Domicilié a Marseille, témoin d'un accident de la route, Ashley Payet raconte les moments difficiles qu'il a vécus vendredi 12 aout en matinée et qui auraient pu tourner au drame sans son intervention.
Vous venez de vivre un événement éprouvant, comment tout cela s'est-il passé ?
Alors que mon amis regardait à la fenêtre, il a vu une voiture tomber du petit pont dans le ruisseau avec un grand fracas, son cri m'a alerté. Sans réfléchir, je suis parti, je ne m'attendais pas à affronter une telle situation.
Quelle a été votre première pensée ?
Dans ces cas, on ne réfléchit pas. Arrivé sur le lieu, j'ai vu une jeune maman, debout dans le ruisseau qui hurlait de terreur, affolée et paniquée. Elle m'a averti qu'elle avait trois enfants à bord. La plus grande 11 ans est sortie par ses propres moyens, celui de 9 ans était suspendu à sa ceinture que j'ai défaite avec difficultés. Restait le bébé coincé dans son siège.
"Son visage était déjà cyanosé, bleu, tout congestionné, la tête presque entièrement dans l'eau"
Son visage était déjà cyanosé, bleu, tout congestionné, la tête presque entièrement dans l'eau. Je l'ai vite retiré, puis j'ai appuyé sur son plexus, un réflexe de secours. Je l'ai frictionné, pour le réchauffer et mis dans un vêtement chaud que m'a donné une personne présente sur le lieu. À mon grand soulagement, il était hors de danger. Durant ce laps de temps, mon amis avait alerté les pompiers qui sont aussitôt arrivés et ont transporté la famille en état de choc à l'hôpital de Marseille. En fin d'après-midi, ils sont rentrés chez eux, ils allaient bien.
Que ressentez-vous à présent ?
Avec du recul, une seule chose me reste en tête, les cris de la maman et des enfants, mais surtout ce siège de bébé avec la tête de l'enfant presque entièrement submergé. Un vrai cauchemar. Je crois, que je ne réalise pas très bien tout ce que je viens de vivre.
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